2. Le travail des unités atomiques

2. Le travail des unités atomiques

 

a.
Les sept Hommes Célestes, envisagés sous l'angle de leur relation avec l'Entité dont notre Logos solaire est une réflexion, correspondent aux sept centres du corps physique de l'homme. Ceci sera compris par l'étude de la correspondance du plan physique cosmique et du plan physique systémique.

b.
Trois de ces centres donc :
Concernent les trois centres intérieurs de l'être cosmique.
Ont leur analogie sur les plans dense, liquide et gazeux.
Sont. à l'heure actuelle l'objet de l'attention de la kundalini cosmique.

c.
L'un de ces centres correspond au plexus solaire et synthétise les trois centres inférieurs, formant ainsi le quaternaire.

d.
Le centre, qui correspond à celui qui est situé à la base de la colonne vertébrale, le réservoir de kundalini, a une permanence qui n'existe pas chez les deux autres centres inférieurs. L'Homme Céleste Qui incarne ce principe, et qui est la source de chaleur génératrice pour Ses Frères, doit être recherché à l'aide de l'intuition. Le mental concret ne sera ici d'aucun secours.

e.
Les trois centres supérieurs, soit les hommes Célestes Qui correspondent à la tête, au cœur et à la gorge de notre Logos solaire, ont Leurs correspondances éthériques les plus élevés du plan physique cosmique, exactement comme l'Homme Céleste incarnant le plexus solaire logoïque a Sa source de manifestation sur le quatrième niveau éthérique.

f.
L'Homme Céleste qui a Son centre éthérique ou roue de force sur le quatrième éther cosmique est dans sa quatrième ronde, un facteur vital de l'évolution planétaire.

g.
Quand l'Homme Céleste, Qui se manifeste à l'heure actuelle par la chaîne terrestre, aura réussi à vitaliser Son centre médian, à détourner la force de la kundalini planétaire des centres inférieurs et à la diriger vers le plexus solaire, un nouveau cycle sera atteint, et une grande partie de la détresse actuelle prendra fin. Son travail est encore à l'état embryonnaire, et il devra s'écouler deux cycles et demi avant qu'Il n'ait accompli la tâche nécessaire. Lorsque ce sera chose faite, ce qui en résultera pour les unités humaines en incarnation aura un triple aspect :
La stimulation sexuelle, telle qu'elle est comprise actuellement, aura tendance à se manifester non pas tellement sur le plan physique, que sur le plan astral et mental, se révélant par des créations d'art et de beauté d'une part, et par le travail objectif des savants d'autre part.

Le crime, tel que nous le connaissons actuellement, et qui est largement basé sur l'émotion sexuelle, sera une chose du passé ; et la licence physique, l'orgie et l'horreur seront réduites de soixante-quinze pour cent.

L'action réciproque entre les trois planètes denses aura atteint la perfection, et l'homme pourra passer à volonté de l'une à l'autre.

Je souhaite indiquer ici que la méthode selon laquelle les noms des globes d'une chaîne, et les noms d'une chaîne d'un schéma, suivent la nomenclature des planètes, est à déconseiller. Cela a provoqué des confusions.

Un indice pouvant conduire à une compréhension correcte est caché dans les mots "Vénus est le primaire de la Terre". 114

114 Doctrine Secrète, II, 33, I, 323.


Il n'est pas permis d'en dire beaucoup au sujet de ce mystère – à savoir que "Vénus est l'alter ego de la Terre" – et ce n'est pas souhaitable, mais il est possible de suggérer quelques idées qui – si on les approfondit – permettront d'embrasser plus largement la beauté inhérente à la synthèse de la nature, et la corrélation merveilleuse de tout ce qui est en cours d'évolution.

Une idée pourra peut-être se faire jour, si l'on se souvient que dans un sens occulte. Vénus est à la Terre, ce que le Soi supérieur est à l'homme.

La venue des Seigneurs de la Flamme sur Terre était conforme à la loi, ce n'était pas seulement un événement fortuit et heureux ; c'était une affaire planétaire qui a sa correspondance dans la relation entre l'unité mentale et l'atome manasique permanent. A mesure que l'homme individuel construit l'antaskarana entre ces deux points – de même, au niveau planétaire, la collectivité humaine de notre planète construit un canal la reliant à Vénus, sa planète primaire.

En ce qui concerne ces deux planètes, il faut se souvenir que Vénus est une planète sacrée, ce qui n'est pas le cas pour la Terre. Cela signifie que certaines planètes sont, pour le Logos, ce que les atomes permanents sont pour l'homme.
Elles incarnent des principes. Certaines planètes n'offrent que des demeures temporaires à ces principes. D'autres persistent pendant tout le mahamanvantara. Vénus est l'une de celles-là.

Il faut se souvenir que trois des planètes sacrées sont la demeure des trois Rayons majeurs, des formes incarnées des trois aspects ou principes logoïques.
D'autres planètes incarnent des rayons mineurs. Nous pourrions considérer – du point de vue du présent – que Vénus, Jupiter et Saturne, sont les véhicules des trois super-principes à l'heure actuelle. Mercure, la Terre et Mars sont étroitement liées aux trois planètes ci-dessus, mais il y a là un mystère caché.
L'évolution de la ronde intérieure est en étroit rapport avec ce problème. On pourrait peut-être jeter quelque lumière sur l'obscurité de la question en réalisant que, de même que pour le Logos, les planètes non sacrées correspondent aux atomes permanents humains, de même l'évolution médiane, entre Dieu et l'homme, représenté par l'Homme Céleste, dont le corps est constitué de monades humaines et déviques, a aussi Ses atomes permanents. Les trois principes supérieurs, sont toujours distincts des quatre inférieurs, en importance.

La clé du mystère est dans le fait qu'entre le numéro d'un globe dans une chaîne, et la chaîne correspondante il existe une méthode de communication.
Ceci est vrai aussi de la correspondance entre une chaîne de globes, et le schéma de même numéro. La relation de Vénus à la Terre est scellée dans les chiffres, et il a fallu un moment de mystérieux alignement entre un globe, la chaîne correspondante, et le schéma de numéro analogue pour qu'ait lieu l'événement considérable de la venue des Seigneurs de la Flamme. Cela se produisit pendant la troisième race-racine de la quatrième ronde.

Nous avons là une analogie avec le quaternaire et la Triade, ce qui élève l'interprétation jusqu'à l'Homme Céleste. La chaîne était la quatrième et le globe le quatrième. La quatrième chaîne du schéma Vénusien, et le quatrième globe de cette chaîne étaient étroitement impliqués dans l'opération.

h.
Le degré d'avancement des Hommes Célestes n'est nullement uniforme. Un point sur lequel on n'a pas insisté jusqu'ici est que le problème de chacun d'Eux est différent, et qu'il n'est donc pas possible pour l'homme de juger exactement du travail qu'ils ont accompli, ou du niveau de relative perfection qu'ils ont atteint. On a dit que, puisque Vénus est dans sa cinquième ronde, le Seigneur de Vénus est plus avancé que ses frères. Il n'en est pas tout à fait ainsi. De même que dans le développement de l'humanité, il y a trois lignes majeures, et quatre lignes mineures qui se fondent dans l'une des trois lignes majeures, de même en ce qui concerne les Hommes Célestes il y a trois lignes majeures dont le Seigneur de Vénus ne fait pas partie. Il a sa place dans le quaternaire logoïque, comme le Seigneur de la Terre.
L'idée principale, qui sous-tend la question à laquelle nous avons essayé de répondre, est liée à la relation entre schémas, chaînes, rondes, et races, et il faut garder à l'esprit le fait que ces manifestations sont à l'Homme Céleste, ce que les incarnations sont à l'homme. Cela nous donne l'occasion de situer peut-être un peu plus clairement la place des cycles dans l'évolution de toutes ces Entités, depuis l'homme, jusqu'à un Logos cosmique, en passant par l'Homme Céleste et un Logos solaire 115. Ainsi que l'indique la Doctrine Secrète, il y a des cycles majeurs et des cycles mineurs dans l'évolution d'un système solaire ; il en est ainsi pour l'Homme Céleste, pour l'être humain et pour l'atome. Ce qui nous amène à faire une autre déclaration :


115 Doctrine Secrète, I, 258.

i.
Les cycles des processus évolutionnaires de toutes ces Entités peuvent être divisés en trois groupes principaux ; ces groupes peuvent nécessairement être étendus à des septennats, et en une infinité de multiples de sept.
En ce qui concerne un Logos solaire les cycles sont désignés par les termes :

1.
Cent ans de Brahma.
2.
Une année de Brahma.
3.
Un jour de Brahma.

Ces périodes ont été calculées par les étudiants Hindous, et représentent la totalité du temps tel que nous le comprenons, ou la durée d'un système solaire.

En ce qui concerne l'Homme Céleste nous avons des cycles correspondant à ceux du Logos :
1.
La durée d'un schéma planétaire.
2.
La durée d'une chaîne planétaire.
3.
La durée d'une ronde planétaire.

A l'intérieur de ces trois divisions, qui sont les différenciations des trois grands cycles d'incarnation d'un Logos planétaire, il existe de nombreux cycles ou incarnations mineurs, mais ils tombent dans l'une ou l'autre des trois principales divisions. On comprendra aisément ce que sont ces cycles mineurs si l'on indique qu'ils correspondent à des périodes telles que :
a.
La durée de manifestation d'un globe.
b.
La durée d'une race-racine.
c.
La durée d'une sous-race.
d.
La durée d'une race-rameau.

Afin de comprendre même superficiellement l'identité de la manifestation d'un Logos planétaire dans une race-racine, par exemple, il faut se souvenir que la totalité des unités humaines et déviques de la planète forment le corps vital d'un Logos planétaire, tandis que la somme des vies intérieures de la planète (depuis le corps matériel des hommes ou des dévas jusqu'aux autres règnes de la nature) forment Son corps matériel, et sont divisibles en deux sortes de vies :
a.
Celles qui sont sur l'arc évolutif, tel que le règne animal.
b.
Celles qui sont sur l'arc involutif, telles toutes les formes matérielles élémentales de Sa sphère d'influence. Toutes les vies involutives, ainsi qu'il a déjà été dit, forment les véhicules de l'esprit de la planète, ou entité planétaire, qui représente l'ensemble des essences élémentales en cours d'involution. Sa position, par rapport à l'Homme Céleste, est analogue à celle des différents élémentals constituant les trois corps de l'homme, physique, astral, mental, et il est de nature triple, comme tous les êtres manifestés, mais sur l'arc d'involution. Donc, l'homme et les dévas (faisant la distinction entre les dévas et les constructeurs inférieurs) forment l'Ame de l'Homme Céleste. Les autres vies forment son corps, et c'est du corps et de l'âme que nous traitons dans les deux divisions de notre thèse sur le FEU. L'un des groupes manifeste le feu de la matière, l'autre groupe le feu du mental, car les dévas sont la personnification du mental actif universel, même si l'homme est considéré comme manasique dans un sens différent.
L'homme fait le pont en essence, les dévas font le pont dans la matière.
En ce qui concerne l'Homme, les cycles sont également triples.

 1.
Le cycle Monadique qui correspond chez l'homme aux cent ans de Brahma, et à un schéma planétaire.
2.
Le cycle Egoïque.
3.
Le cycle de la Personnalité.

Ces pensées sur les cycles ont ouvert un vaste champ de réflexion, surtout si on rapproche l'idée des cycles de l'égo et de la personnalité, des périodes plus grandes relatives à un Logos planétaire. Cette idée est susceptible de larges développements ; elle est gouvernée par certaines idées fondamentales qu'il y a lieu d'étudier et d'examiner avec soin.

Les cycles de la manifestation de la personnalité chez l'homme, existent en groupes de quatre et sept ; ils suivent le processus évolutionnaire habituel.

a.
La différenciation, processus involutif, de l'un devenant le multiple, de l'homogène devenant l'hétérogène.
b.
L'équilibre, ou processus d'ajustement karmique.
c.
La synthèse, ou spiritualisation, le multiple redevenant l'Un.
d.
L'obscuration, ou libération, la fin du processus évolutif, ou libération de l'Esprit des limitations de la matière.

Ceci doit nous faire comprendre que toutes les incarnations sur le plan physique ne sont pas d'égale importance, mais que certaines sont plus significatives que d'autres ; certaines d'entre elles, du point de vue de l'Ego, sont pratiquement négligeables, d'autres comptent ; certaines, pour l'Esprit humain en évolution, sont d'une importance analogue à l'incarnation d'un Logos planétaire dans un globe, ou dans une race-racine, tandis que d'autres sont relativement peu importantes, comme celle de la manifestation d'une race-rameau pour l'Homme Céleste.

Jusqu'ici, vu le faible développement de l'homme moyen, les incarnations (ou cycles) astrales comptent peu, mais ne doivent nullement être minimisées ; elles sont souvent d'une importance relative plus grande que les incarnations physiques. Par la suite, on comprendra mieux les cycles astraux, et leur relation aux cycles physiques. Lorsqu'on aura réalisé, que le corps physique n'est pas un principe, mais que le principe kama-manasique (ou principe désir et mental) est l'un des plus vitaux pour l'homme, la période ou cycle où l'homme fonctionne sur le cinquième sous-plan de l'astral (le plan essentiellement kama-manasique) prendra sa vraie place. Il en sera de même des cycles du plan mental et causal.
Les cycles causals ou égoïques, qui englobent tous les groupes de cycles mineurs dans les trois mondes, correspondent à une ronde complète, dans les cycles de l'Homme Céleste. Il y a sept cycles de ce genre, mais le nombre de cycles mineurs (inclus dans les sept) est l'un des secrets de l'Initiation.

Les cycles égoïques procèdent par groupes de sept et de trois, et non par groupes de quatre et de sept comme pour les cycles de la personnalité. L'on retrouve la même proportion dans les cycles centraux d'un Homme Céleste ou d'un Logos solaire.

Les cycles monadiques procèdent par groupes de un et de trois, comme les cycles fondamentaux des grandes Entités, dont l'homme est la réflexion microcosmique. Si le concept général exposé ici est étudié en relation avec les schémas, et sous l'angle des relations réciproques entre d'autres formes de manifestation ; si le microcosme lui-même est étudié en tant que clé de l'ensemble, l'idée de ce qu'est le dessein sous-jacent à toutes ces manifestations commencera à poindre dans l'esprit. Il ne faut pas oublier que, de même que l'homme moyen, dans chaque incarnation, atteint trois objectifs :
1.
Le développement de la conscience, ou éveil de la faculté de prendre conscience.
2.
L'acquisition d'une certaine mesure de faculté permanente, ou nette augmentation du contenu du corps causal.
3.
La création de karma, ou mise en mouvement (par l'action) de causes qui produiront nécessairement des effets inévitables, de même l'Homme Céleste, à un certain stade de son évolution œuvre de façon analogue. A mesure que l'homme progresse lorsqu'il foule le Sentier de Probation, et plus tard le Sentier de L'Initiation, il réussit à obtenir certains développements remarquables.

1.
Ainsi que précédemment, il obtient une expansion de conscience, mais il commence à travailler intelligemment à partir de niveaux supérieurs, et il ne travaille plus à l'aveuglette sur les plans inférieurs.
2.
Il termine la construction du corps causal, et puis il commence à mettre en pièces son ouvrage, à détruire ce Temple si soigneusement construit, car il s'aperçoit qu'il constitue une limitation.
3.
Il cesse d'engendrer du karma dans les trois mondes, et commence à s'en débarrasser, ou littéralement, "à liquider ses affaires".
Les Hommes Célestes font de même, Ils doivent fouler un Sentier cosmique, analogue à celui de l'homme, lorsqu'il s'approche du but de tous ses efforts.

Il sera exact de pousser encore plus loin ce concept, et de prévoir une action analogue de la part du Logos.

L'examen de cette question est presque terminé, et il doit apparaître que les relations entre les manifestations citées plus haut sont de nature psychique (dans le vrai sens du mot – psychique – appartenant à la psyché, ou âme, ou conscience) et se rapportent à l'expansion progressive Connaissance-Ame de l'Homme Céleste. Un mot de mise en garde, néanmoins. Bien que ces Etres cosmiques trouvent chez l'homme le reflet de Leur Propre Nature, l'analogie de la ressemblance ne doit pas, néanmoins, être poussée à l'extrême. L'homme est le reflet, mais non le reflet parfait, l'homme évolue mais il n'est pas préoccupé des mêmes problèmes, dans le détail, que les Manasaputras parfaits.

L'homme a pour objectif de devenir un Divin Manasaputra, un Fils du Mental parfait, faisant preuve de tous les pouvoirs inhérents au mental, et devenant ainsi semblable à sa source monadique : l'Homme Céleste. L'Homme Céleste a développé Manas, et il cherche à devenir un Fils de Sagesse, non pas inhérent mais en pleine manifestation. Un Logos solaire est à la fois un Manasaputra Divin et un Dragon de Sagesse, et Son problème est le développement du principe de la Volonté cosmique, qui en fera ce que nous appelons un "Lion de Volonté cosmique".

A travers toutes ces manifestations de degré différent, la loi tient bon, et le plus petit est inclus dans le plus grand. D'où la nécessité pour l'étudiant de garder soigneusement le sens des proportions, du discernement quant au temps dans l'évolution, et une appréciation exacte de la place de chaque unité dans sa plus grande sphère. Vous ayant ainsi mis en garde, nous pouvons maintenant poursuivre les remarques formant la conclusion de cette dernière question.

116 Doctrine Secrète, I, 191.

On a dit qu'il y avait un mystère dans les 777 incarnations. Ce nombre offre un large champ de réflexion 116. Il est bon de faire remarquer que ce nombre ne représente pas un cycle déterminé d'incarnations par lesquelles l'homme doit passer, mais qu'il offre la clé des trois cycles majeurs mentionnés plus haut. Fondamentalement, ce nombre s'applique au Logos planétaire de notre schéma et peu aux autres schémas. Chaque Homme Céleste a Son propre nombre, et le nombre de notre Homme Céleste est contenu dans les trois chiffres cités plus haut, de même que 666, et 888 cachent le mystère de deux autres Hommes Célestes. Ce nombre 777 est aussi celui de la transmutation, ce qui est le travail essentiel de tous les Hommes Célestes. Le travail de base chez l'homme c'est 'accumulation et l'acquisition. c'est-à-dire l'acquisition de ce qui plus tard devra être transmué. Le travail de transmutation, le vrai cycle de 777, commence sur le Sentier de Probation, et correspond précisément à l'activité de l'Homme Céleste, telle qu'elle est comprise et partagée par les cellules de Son Corps. C'est seulement lorsque Son Corps a atteint un certain mouvement vibratoire qu'il peut véritablement influencer les cellules individuelles. Ce travail de transmutation de l'activité cellulaire commença sur notre planète, pendant la dernière race-racine, et l'alchimie divine se poursuit. Les progrès accomplis jusqu'ici sont modestes, mais chaque cellule consciente et transmuée accroît la rapidité et l'exactitude du travail. Seul du Temps est nécessaire pour que le travail soit parachevé. La légende de la Pierre Philosophale est en rapport avec cette question de la transmutation, et c'est littéralement l'application de la Baguette d'Initiation, en un certain sens.