INSTRUCTIONS PERSONNELLES AUX DISCIPLES PAR LE TIBETAIN à P.D.W.

 Le rayon égoïque, le deuxième Rayon d'Amour-Sagesse.
 Le rayon de la personnalité, le sixième Rayon de Dévotion, d'Idéalisme.


Janvier 1936


Mon Frère,
Avec patience, vous avez affronté la vie. Vos moments de profonde dépression qui parfois, dans le passé, équivalaient presque à des crises de désespoir, touchent à leur fin. Vous êtes de plus en plus plongé dans le service pour votre prochain et vous vous rapprochez du but qui vous a été fixé.
Un des problèmes que tous les disciples sincères ont à résoudre est d'apprendre à vivre comme si le corps physique n'existait pas. Par là, je veux dire que les limitations et les entraves qu'il impose à l'expression de la conscience libre et spirituelle sont annulées par une attitude intérieure du mental. Cultiver cette attitude détachée à l'égard de la vie et des circonstances constitue pour vous la grande leçon de cette incarnation particulière. Vous êtes en train de l'apprendre. Vous devez apprendre à faire fonction de Messager, avec un sentiment de liberté intérieure et malgré les handicaps et les exigences d'un véhicule physique trop frêle pour pouvoir vraiment manier la force qui s'écoule à travers lui. Certaines personnes, mon frère, sont constituées d'une manière qui leur permet de devenir publiquement des serviteurs et des centres de lumière aux yeux de leur prochain. Leur influence et leur pouvoir sont grands. D'autres, avec un pouvoir égal, opèrent d'un centre calme où ils se sont relativement retirés, et ils manient, si je puis me répéter, une force égale.
C'est d'eux que vient la pratique de discernement spirituel qui ne sépare pas et qui pourtant choisit sagement où doivent être mis la force, les efforts et la lumière disponibles. Mettez votre force et votre lumière aux côtés de celles des travailleurs qui servent la Hiérarchie sur le champ de bataille de la vie. C'est ce que j'ai à vous dire aujourd'hui. Que les travailleurs et ceux qui exercent de
l'influence trouvent en vous un camarade et, en outre, quelqu'un qui sait. Dans la chaleur et l'excitation du combat, dans la fatigue inhérente à la tension d'un service actif de la Hiérarchie, faites-leur sentir qu'en vous ils ont quelqu'un vers qui ils peuvent se tourner, quelqu'un qui est détaché et consacré. Qu'ils trouvent en vous quelqu'un dont les yeux voient clairement parce qu'ils ne sont pas ternis par le brouillard et la fumée de la bataille du monde extérieur. Tel est votre service, et c'est ce que je vous demande au nom de ceux que, plus tard, je vous enverrai. Guettez-les, reconnaissez-les et aidez-les. Je peux avoir confiance en vous pour le faire.
J'ai réfléchi aux exercices qui pourraient vous aider et je me suis penché attentivement sur votre travail de méditation. Je vous ai fait attendre ces instructions personnelles, car vous étiez à même de poursuivre le processus d'intégration tout seul et sans aide et c'est toujours mieux ainsi. J'ai décidé de ne pas vous donner d'exercice respiratoire pendant six mois, mais je vous demande de faire deux choses : d'abord, concentrez votre attention sur le travail à faire à la pleine lune. Tout au long du mois, préparez le travail que vous devez faire alors, procédant chaque jour, délibérément et scientifiquement, en gardant à l'esprit l'idée de ces cinq jours d'apogée de travail ésotérique.
Construisez pour le moment de la pleine lune lorsqu'en compagnie de vos condisciples vous faites votre "approche" et que vous pouvez recevoir certaines forces qu'il vous faut apprendre à manier. Voulez-vous assumer la responsabilité d'un certain travail ? Vous savez à quoi je me réfère. Ensuite, faites chaque jour la méditation indiquée ci-dessous, conservant soigneusement
trace de ce qui se produit. Au bout de six mois, faites un résumé de votre journal spirituel et une analyse de vos progrès et des résultats. Vous n'aurez pas à le montrer à qui que ce soit, à moins que vous ne le désiriez, mais conservez le journal et l'analyse des résultats obtenus.
Le travail de méditation et les pensées que je vous suggère doivent prendre place avant la méditation de groupe que je serais heureux de vous voir faire avec vos frères de groupe. Après avoir dûment établi le calme en vous, et après avoir rendu votre mental aussi clair que vous êtes habitué à le faire, procédez alors comme indiqué (...)
Vous pouvez, si vous le désirez, utiliser les pensées-semences suivantes dans votre méditation :
- Premier mois : Joie. Comme un oiseau dans son envolée, je vole vers le soleil. Je chante dans mon âme et tous ceux que je rencontre peuvent m'entendre.
- Deuxième mois : Force. Comme un boeuf attelé avec son compagnon, je transporte le fardeau de vie. Et pourtant je ne suis pas seul. Avec mes frères et le Maître, je partage ce fardeau.
- Troisième mois : Impulsion. Comme un enfant qui évoque l'amour de ceux qui l'entourent, j'évoque également l'amour de mes frères. Cet amour, je le rends, sans y penser et sans y être attaché.
- Quatrième mois : Pouvoir. Comme une citerne dans laquelle est accumulé ce dont l'homme a besoin, l'eau de vie qui nourrit. Moi aussi, j'amasse ce qui est nécessaire aux autres. Je ne conserve rien pour moi. Le pouvoir est nécessaire à leur travail, et par conséquent, j'assemble et j'amasse, cherchant la source d'approvisionnement.
- Cinquième mois : Beauté. La couleur m'appartient. Je la réclame comme étant mienne, car couleur et qualité ne font qu'un. Et cependant je la partage avec mes compagnons.
- Sixième mois : Compréhension. Je connais le chagrin, mais c'est la graine fructueuse de la sagesse. Comme un sage, je supporte et je récolte les fruits de la sagesse pour les autres.
Je n'ajoute rien à cette description de méditation. Ajoutez-y la méditation de groupe et tout autre travail que vous pourriez décider de faire. Je vous demande une seule chose : à chaque méditation, déversez amour et sagesse sur vos frères de groupe, établissant un lien avec votre âme, avec moi et avec le groupe, vous considérant seulement comme un canal à travers lequel l'aide peut venir. Ma bénédiction demeure sur vous.
Vos rayons sont les suivants :
a. Le rayon égoïque, le deuxième Rayon d'Amour-Sagesse.
b. Le rayon de la personnalité, le sixième Rayon de Dévotion, d'Idéalisme.
Dans votre dernière vie, le rayon de votre personnalité était le premier rayon, ce qui peut expliquer bien des choses quant à vos réactions dans cette vie.

Novembre 1936


Mon Frère,
Cette fois-ci, je ne vous donnerai que de brèves instructions. Nous sommes souvent en rapport l'un avec l'autre et, actuellement, vous vous occupez de faire de nouveaux ajustements dans votre vie. Ces ajustements sont nécessaires et bons et je ne voudrais pas m'immiscer dans vos affaires ou, de quelque manière, compliquer votre tâche. Les trois années passées vous ont apporté bien des changements, certains relatifs aux circonstances, à votre milieu et au champ de contacts humains, mais la plupart d'entre eux intérieurs et du domaine de la conscience.
Vous entrez dans une période de travail intensif. Mais en ce moment, je voudrais, mon frère et ami, vous dire deux choses :
1. Veillez avec soin à votre corps physique. Vous êtes une de ces personnes qui doivent apprendre à travailler par l'intermédiaire d'un corps physique frêle et délicat ; vous pourriez grandement entraver son utilité si vous l'obligiez à effectuer trop de travail extérieur actif. Il ne peut supporter de contacts physiques extérieurs, ni de changements fréquents et rapides, ni de durs travaux. Veillez sur lui et soignez-le bien.
2. Souvenez-vous que ce n'est pas où vous êtes mais ce que vous êtes qui importe et qui a un sens. Du lieu calme ou vous vivez et où vous pouvez prendre un juste soin de votre corps physique (votre instrument de service sur le plan extérieur de la vie) peuvent émaner une telle force spirituelle et une telle sagesse vivante que vous pouvez servir une multitude de gens. Vous pouvez les servir de cet endroit, sans les rudes contacts extérieurs que des serviteurs physiquement plus robustes peuvent supporter. Servez du centre au sein de vous même, par la plume et par la pensée et par des entrevues, mais n'allez pas prendre contact avec le monde.
Si vous pouvez faire ces deux choses, vous pouvez accomplir beaucoup pour nous et vous pouvez rendre un grand service à la Hiérarchie que vous aimez et que vous servez, et vous pourrez le faire tout au cours de cette période. Mais si vous oubliez ces deux suggestions, il ne vous sera pas facile de poursuivre votre tâche ; vous ne seriez pas en mesure d'accomplir l'oeuvre que vous avez l'intention de faire pour nous avec toute la perfection souhaitable.
Votre travail se place sur les lignes du rayonnement et de l'interprétation.
La seule autre chose que je voudrais faire aujourd'hui est de vous dire la nature des rayons de votre personnalité et de vous donner ainsi une claire compréhension de vous-même. Comme vous le savez, votre rayon égoïque est le deuxième Rayon d'Amour-Sagesse ; le rayon de votre personnalité est le sixième Rayon de Dévotion. Il est inutile que je fasse plus que de vous indiquer
qu'il vous est aisé d'établir les contacts suivants, en raison de cette combinaison de rayons.
1. Un contact avec votre âme. Il est déjà établi.
2. Un contact avec la Hiérarchie, par l'intermédiaire de votre âme.
3. Un contact avec le plan astral, par votre personnalité de sixième rayon qui, par conséquent, fonctionne facilement sur le sixième plan, le plan astral.
4. Un contact avec les idées, par une intuition active.
Ce sont là des aspects nettement positifs ; ils sont la marque d'un disciple avancé. Vous le savez sans que j'aie besoin de vous le dire. Mais tous ces contacts impliquent le maniement de forces et offrent leurs propres problèmes.
Votre corps mental est sur le cinquième Rayon de Connaissance Concrète ou de Science. De là viennent votre intérêt et votre habileté dans la science de l'astrologie qui est de bien des façons la science des sciences. De là aussi viennent votre mental vif, votre recherche infatigable de la vérité et votre capacité à pouvoir jeter la lumière sur bien des questions. Ce dont il faut vous souvenir est que le cinquième rayon est un facteur de cristallisation et, conjointement à la volonté et au pouvoir développés par vous dans votre dernière vie, il pourrait tendre à vous rendre dogmatique et par conséquent séparatif. Cela doit être équilibré par votre âme de deuxième rayon.
Votre corps astral est sur le sixième rayon, comme votre personnalité ; cela vous aide grandement dans votre tâche actuelle, à la condition que vous utilisiez le corps astral comme moyen d'expression de l'âme et non comme agent, en soi, sur le plan astral. La force de ce rayon vous donne la dévotion, l'idéalisme, une volonté dynamique pour percer tous les mirages et les idées fausses et parvenir ainsi à la vérité et à la liberté, à la fois pour vous, pour votre groupe et pour ceux que vous servez. Si vous la laissez faire, elle vous donnera aussi une tendance à devenir victime vous-même des mirages et à être dominé par l'illusion.
Votre corps physique se trouve sur le septième Rayon d'Ordre Cérémonial ou de Magie ; c'est ici que se trouve la source de votre mauvaise santé. Le septième plan est celui sur lequel l'esprit doit s'exprimer. C'est le récipient de l'énergie spirituelle. Votre véhicule physique et moyen d'expression est d'une nature si sensible et si raffinée, c'est un récipient si fragile que votre problème consiste à savoir manier avec sagesse l'énergie spirituelle qui cherche à passer à travers lui. C'est là un problème très réel, auquel vous avez dû faire face pendant bien des années et qui continue à vous confronter.
La période ou le cycle actuel de votre vie vous oblige à faire face à certaines décisions précises. Pour cette raison, je ne vous donne aucun travail spécial, à l'exception de celui que fait le groupe, ni aucune méditation particulière. Actuellement, votre principal travail, et le thème de votre méditation, est de parvenir à une juste décision alors que vous entrez dans une nouvelle période d'activité spirituelle. Le problème a de profondes racines.
Mais vous pouvez le résoudre si vous agissez avec lenteur, si vous appelez votre âme pour qu'elle projette la lumière sur votre chemin et si vous gardez à l'esprit les deux suggestions que je vous ai faites dans ces instructions. Et puis, mon frère, comme ce fut le cas dans d'autres vies, je demeure à vos côtés, vous aimant et vous comprenant.

Mai 1937

Mon Frère et Ami,
Nos rapports, pendant de nombreuses vies, ont été étroits, et ils le sont particulièrement aujourd'hui. Peut-être sans que vous le sachiez, je vous ai gardé et protégé de nombreux contacts malheureux avec le monde, car vous avez une nature sensible et un corps fragile ; déjà, vous vous occupez de la misère et de l'attente du monde dans la mesure où vous le pouvez, et peut-être dans une mesure qui dépasse ce qui est bon pour vous, physiquement et
émotionnellement. Vous êtes semblable à tant de disciples se trouvant sur le deuxième rayon et qui s'entraînent pour le salut du monde. Comme notre Grand Maître, le Christ, vous devez assumer votre part dans la souffrance du monde, et vous l'assumez en fait, formant ainsi l'un des vastes groupes de Ses compagnons qui se sont dédiés à "la communauté de Ses souffrances et de Sa patience", comme Lui-même s'est dédié à Son Grand Maître, le Seigneur de Shamballa. Comme vous le savez, Il ne quittera pas Son poste tant que le "dernier des pèlerins lassés n'aura trouvé le chemin du retour". Vous voyez donc, n'est-ce pas, le sens véritable des trois mots-clé que je vous ai donnés lorsque vous êtes entré dans ce groupe, patience sans fin avec vous-même, avec les autres et avec l'humanité égarées ; pensée dynamique, vous donnant pouvoir et utilité sur le plan mental et vous apprenant à travailler comme le fait le Christ, comme le fait K.H. et tous ceux qui servent en liaison avec la Hiérarchie ; sagesse, qui vous permet de récolter les fruits de nombreuses vies passées à acquérir la connaissance spirituelle.
Vous avez vraiment un champ de service. Ne soyez pas découragé, mon frère. Votre problème physique (même si vous lui donnez un terme technique) est beaucoup plus lié à l'écoulement des forces vitales qui produisent un violent impact sur un corps fragile, qu'il ne l'est, en soi, à la maladie. Souvenez-vous que c'est en acceptant intérieurement les limitations imposées par votre
physique que vous trouverez la clé de beaucoup de libération. Lorsque cette forme d'indifférence divine sera agissante dans votre vie et votre conscience, vous vous trouverez libéré pour un service mental plus abondant et vous êtes appelé à ce service.
Votre problème ressemble beaucoup à celui de A.A.B. dont la santé est maintenant sérieusement atteinte et qui a, elle aussi, à combattre une révolte intérieure contre ses propres limitations, comme le font tous les disciples actifs et qui travaillent dur, mais dont l'équipement n'est pas assez fort pour manier, d'une manière adéquate, les forces s'écoulant à travers eux vers le monde. Par
conséquent, aidez-vous les uns les autres.
Je veux, mon frère, vous donner un exercice de visualisation susceptible de vous aider quelque peu. Dans votre cas, les exercices respiratoires ne sont pas indiqués ni particulièrement nécessaires. Je vous demande de rester tranquillement sur votre chaise ou sur votre lit, pendant quelques minutes chaque matin avant de faire la méditation de groupe, et, en fermant les yeux, de vous unir à votre âme et à moi, votre ami. Vous créerez ainsi un triangle de lumière entre votre âme, le centre de la tête et moi-même. Fixez et maintenez fermement ce triangle dans votre conscience par le pouvoir de l'imagination créatrice. Voyez-le ensuite comme un triangle de lumière et non plus simplement comme les contours d'un triangle. La base de cette figure se trouve sur le plan mental où je travaille et où demeure et travaille votre âme ; le point le plus bas, ou sommet du triangle, touche le sommet de votre tête. Voyez ensuite, se déversant à travers le triangle, un jet de lumière dorée et non pas blanche ; elle est plus légèrement orangée que blanche. Voyez-la qui envahit tout votre corps. Lorsque vous l'aurez visualisée aussi parfaitement que possible, reposez-vous en cette lumière, baignez-vous en elle comme vous le feriez dans les eaux de la mer. Voyez-la qui pénètre chaque partie de votre équipement physique, et laissez-la oeuvrer sans vous faire aucune idée précise de ce qu'elle doit accomplir. Le reste de l'activité est entre mes mains et vous pouvez me laisser faire en toute confiance. Cet exercice vous aidera à vous occuper du problème de votre vie et de votre service, jusqu'au moment où vous entrerez dans la lumière de la conscience éveillée, libérée des liens de la chair.
Mais ce moment n'est pas encore là.
La bénédiction de vos condisciples demeure sur vous et la vôtre sur eux.

Janvier 1940


Frère de longue date,
De tous les membres de votre groupe particulier, vous êtes peut-être celui qui est le plus exempt de tout sérieux mirage ; celui qui, presque nécessairement et d'une manière protectrice, vous domine est le mirage de l'incapacité physique. Cette infirmité physique fait germer en vous un profond sentiment d'inutilité, une constante et épuisante réalisation du service incomplet. C'est là, très certainement, un mirage. Le pouvoir d'un canal libre d'obstacles est, dans les mains de la Hiérarchie, beaucoup plus grand que vous ne le pensez ; bien que pour vous il ne soit pas question de combattre au premier rang, je vous rappelle que la Hiérarchie se tient toujours dans les coulisses quant aux affaires du monde et qu'elle travaille toujours à travers les autres ; Elle se tient entre ceux qui portent le fardeau du contact direct et ceux qui accomplissent le travail immédiat dans la guerre qui fait rage entre les Forces de Lumière et les Forces du Matérialisme.
Voulez-vous vous tenir là aussi, mon frère ? Voulez-vous mettre fin au désir constant qui vous pousse à être d'une plus grande utilité extérieure ? La Loi d'Acceptation est une loi divine qui libère du mirage, rendant l'âme libre pour les réalités du service. En tout temps, je demeure près de vous.


Août 1940

Mon Frère depuis si longtemps,
J'ai pour vous un court message que je demande à A.A.B. de joindre à sa prochaine lettre à votre adresse. Je voudrais que vous sachiez que vous êtes resté dans mes pensées, ma sollicitude et mon amour, qu'il ne se passe pas un moment du jour ou mon affectueuse protection ne vous environne. Vous vous souvenez de ces trois mots que je vous ai donnés il y a quelques années et qui devraient être les notes-clé de votre vie ? La patience, vous l'avez manifestée d'une manière constante pendant de longues années ; le service à l'égard de votre prochain par la pensée dynamique doit être aujourd'hui votre service, service qui s'étend à moi et à vos frères. De ces deux choses, patience et claire pensée, la sagesse devrait surgir, et la sagesse est certainement des plus nécessaires dans le monde d'aujourd'hui. Votre champ de service autour de vous s'étend à tous ceux qui vous approchent, et le sentier du service conduit directement à moi, mon frère...

NOTE : Ce disciple était un Français ancien Jésuite. Il résidait en Hollande. Les deux dernières communications du Tibétain furent reçues par lui peu après l'entrée des Allemands en Hollande, ce qui donne un sens particulier aux paroles du Tibétain. P.D.W, mourut un peu plus tard, dans la même année, et ainsi "cessa son activité extérieure" ainsi que le Tibétain l'indique.